Les sections locales 401 et 1118 forment le plus grand syndicat du secteur privé en Alberta

Calgary – 21 novembre 2017 – Les membres des sections locales 401 et 1118 ont voté massivement en faveur de la fusion des deux sections locales pour en faire une section locale 401 plus grande et plus forte et devenir ainsi la plus grande section locale du secteur privé en Alberta.

La section locale 401 compte désormais un nombre impressionnant de syndiqué(e)s, soit  32 000 membres dans 18 villes et villages albertains, y compris un certain nombre de camps dans le Nord de l’Alberta. Le pouvoir de négociation du syndicat en est ainsi grandement renforcé. 

Il y a un certain nombre d’initiatives entreprises par les deux sections locales qu’il est possible de combiner et d’adapter. Une d’entre elles concerne l’instauration de comités d’action en faveur des membres, lesquels sont destinés à offrir aux membres l’occasion de mettre à profit leur énergie, leur enthousiasme et leurs talents. Les membres de ces comités collaborent à créer avec leurs vis-à-vis qui œuvrent dans différents lieux de travail des liens qui faciliteront la création d’un collectif formé de travailleuses et de travailleurs actifs et motivés, le but étant de produire en Alberta des changements concrets qui profiteront à tous les membres de la section locale 401 et à leurs collectivités respectives.  

Le président de la section locale 401, Douglas O’Halloran, maintiendra son poste au sein de la section locale nouvellement élargie. Theresa McLaren maintiendra aussi son poste de secrétaire-trésorière. La section locale fusionnée gardera le nom qu’on lui connaissait de « section locale 401  des TUAC Canada ». 

« Nous nous réjouissons des connaissances approfondies et de l’expertise que le personnel et l’équipe dirigeante de la section locale 1118 nous apportent », de dire le président O’Halloran.

« Nos valeurs collectives et notre vision commune pour les travailleuses et travailleurs de l’Alberta porteront de nombreux fruits dans les années à venir et les luttes pour faire régner la justice qui nous attendent », conclut le confrère O’Halloran.