Fin de la première phase du Programme d’internat pour jeunes membres de 2013 chez le meilleur syndicat au Canada

Groupe de l’Ontario au PIJM

À l’arrière (de gauche à droite) : Branko Serdar (section locale 1000A), Enver Harbans (bureau national), Jessica Spooner (section locale 1000A), Frank Curto (section locale 175), Marv Funk (bureau national), Alana Panday (section locale 1000A)

À l’avant (de gauche à droite) : Tina Lafreniere (section locale 175), Nickia Walker (section locale 175), Sergey Zhitarev (section locale 1000A), Rob Howe (section locale 12R24)

Groupe de l’Ouest au PIJM

À l’arrière (de gauche à droite) : Junie Chong (section locale 1518), Risa Maeda (section locale 1518), Tyler Hagan (section locale 1118), Logan Torrie (section locale 401), Oleksii Saksagon (section locale 1118), Ryan Melanson (section locale 401), Enver Harbans (bureau national), Lauren Hill (section locale 1118)

À l’avant (de gauche à droite) : Brittany Roche (section locale 1518), Laura Cipolato (section locale 1518), Connie Li (section locale 1518), Shirley-Anne Arandela (section locale 1518), Jason Lam (section locale 1518), Larysa Thiskova (section locale 1118), Michelle Tam (section locale 1118)

Harrison Hot Springs (Colombie-Britannique), 20 août 2013 – Récemment, la première phase du programme principal de formation et d’éducation pour la jeunesse des TUAC Canada de la présente année, c’est-à-dire le Programme d’internat pour jeunes membres (PIJM), s’est achevée à l’issue des séances de 2013, qui se sont tenues dans les quatre grandes régions du pays. À une époque où les syndicats sont aux prises avec des gouvernements et des grandes entreprises qui, partout au Canada, les attaquent comme elles ne l’avaient pas encore fait jusqu’ici, il est plus important que jamais de former les jeunes militantes et militants en vue de leur inculquer les ficelles de l’art de diriger.

Au cours des mois de l’été, en assistant aux séances du PIJM, près de cinquante jeunes membres de l’organisation syndicale, qui venaient des quatre coins du pays, se sont instruits sur divers sujets, comme la mondialisation, la syndicalisation par la base, l’histoire du syndicat, les connaissances médiatiques, la justice sociale et l’économie.

Donc, à Moncton (Nouveau-Brunswick) comme à Coquitlam (Colombie-Britannique) ainsi qu’à d’autres endroits entre ces deux villes, les jeunes membres ont communiqué leur vision de ce qu’un mouvement syndical uni est en mesure de réaliser dans l’intérêt des travailleuses et travailleurs et ont discuté du rôle vital que jouent les syndicats.

Alors qu’elle réfléchissait à l’expérience qu’elle venait de vivre en suivant ce programme pour les jeunes, Amarjeet Singh, qui est une déléguée syndicale de la section locale 1400, a déclaré : « Grâce au PIJM, j’ai augmenté mes connaissances sur la question des relations entre tous les individus ou groupes dont il s’agit quand il est question du travail, c’est-à-dire les employeurs, les syndicats ainsi que les travailleuses et les travailleurs. Je voudrais faire l’éloge des TUAC Canada car ils font participer activement les membres du syndicat comme moi et les renseignent relativement à ces questions importantes. » Tout en se faisant l’écho des propos de la consœur Singh, Connie Li, qui fait partie de la section locale 1518, a ajouté : « En ayant l’occasion de me présenter ici pour prendre part à un programme comme celui-ci, j’ai vécu une expérience extraordinaire. Pour moi, la semaine qui vient de s’écouler a été formidable et, maintenant, je peux éprouver de la fierté en appuyant mon syndicat puisque je suis consciente que ce dernier vient bel et bien en aide à ses membres. »

En ce moment, au bureau national du syndicat, on prépare ce qui donnera aux groupes de jeunes membres faisant l’expérience du PIJM cette année la possibilité d’user de leurs nouvelles compétences de manière pratique à divers points de vue pendant la deuxième phase du programme. En effet, au cours de celle-ci, ils prendront part à des activités portant sur les projets de développement de la conscience communautaire et sur les autres campagnes qui touchent précisément les syndicats. C’est cet automne que les jeunes de la base militante des TUAC Canada suivront les stages de la deuxième phase en question.

« Sans la collaboration constante et durable des sections locales de notre organisation syndicale, aucun de nos programmes de formation, qui sont exemplaires, ne pourrait exister ni fonctionner. Voilà pourquoi je voudrais les remercier du soutien indéfectible qu’elles apportent en ce qui concerne le PIJM et de l’appui qu’elles accordent continuellement aux jeunes apprenant l’art de diriger qui y participent », affirme le président national des TUAC Canada, Wayne Hanley. « Nous ne cessons de nous efforcer de donner de diverses manières aux jeunes militantes et militants l’occasion de recevoir une formation et de bénéficier des avantages du mentorat dans le but de veiller à ce que notre grand syndicat connaisse encore et toujours la croissance et à ce que les compétences et les aptitudes des jeunes membres des TUAC Canada continuent à se développer. »