Réunion du comité Loblaw en Colombie-Britannique

 
(de gauche à droite) : Barry Sawyer (section locale 175), Brad Morrison (s.l. 175), Al McLean, Dave Forbes (s.l. 175), Paul Docherty (s.l. 1000A), Sandy Forcier (s.l. 832), Dan Lacroix (s.l. 175), Nancy Quiring (bureau national), Robert Armstrong (s.l. 500), Jacques Boucher (s.l. 500), Robert Sévigny (s.l. 501) et Charles Pratt (s.l. 247)
(de gauche à droite) : Barry Sawyer (section locale 175), Brad Morrison (s.l. 175), Al McLean, Dave Forbes (s.l. 175), Paul Docherty (s.l. 1000A), Sandy Forcier (s.l. 832), Dan Lacroix (s.l. 175), Nancy Quiring (bureau national), Robert Armstrong (s.l. 500), Jacques Boucher (s.l. 500), Robert Sévigny (s.l. 501) et Charles Pratt (s.l. 247)

Vancouver – 10 octobre 2013 – Alors que les sections locales des TUAC Canada dans les provinces des Prairies négociaient leurs toutes dernières conventions collectives avec les Compagnies Loblaw limitée, les membres du Comité national de griefs et d’arbitrage des TUAC Canada concernant Loblaw et ses sociétés affiliées tenaient une réunion à Vancouver pour discuter des nombreuses questions et situations qui touchent la vie quotidienne des membres des TUAC Canada dans les épiceries et les entrepôts de Loblaw d’un bout à l’autre du pays.  

Les membres du Comité sont issus des sections locales des TUAC Canada qui représentent les membres à l’emploi des magasins de la bannière Loblaw partout au Canada. Coordonnée par le bureau national, la rencontre semestrielle réunit des syndiqué(e)s ainsi que des permanent(e)s et des dirigeant(e)s syndicaux dans le but d’échanger des stratégies portant sur les négociations contractuelles, les griefs, les cas d’arbitrage, les questions de santé et de sécurité et d’autres enjeux qui touchent les membres à l’emploi de Loblaw.

« Bien entendu, les négociations en cours dans les provinces des Prairies ont fait l’objet d’une partie des discussions », de dire Robert Armstrong, secrétaire-trésorier de la section locale 500 des TUAC Canada et membre du comité Loblaw. « Mais, tourné vers l’avenir, le Comité voulait surtout en savoir plus sur les approches efficaces de chaque section locale dans ses efforts visant à régler les problèmes de tous les jours avec l’entreprise, afin de pouvoir utiliser ces expériences collectives pour mieux représenter les membres », poursuit-il.